Notice patient NORDITROPINE NORDIFLEX 5 mg 1,5 ml, solution injectable en stylo pr�rempli
Bienque rare, une pancréatite doit être envisagée chez les enfants traitéspar la somatropine présentant des douleurs abdominales. Cheztous les patients qui développent un état critique aigu autre ousimilaire, le bénéfice possible d’un traitement par de la somatropinedoit être mis en balance avec le risque potentiel. $ Des réactions transitoires au site d’injection ont été rapportées chez les enfants. Omnitropea provoqué la formation d’anticorps chez environ 1 % des patients.
Quels sont les effets secondaires possibles?
- Pour les conditions de conservation du m�dicament apr�s premi�re ouverture, voir la rubrique 6.3.
- La dose journalière maximale recommandée ne devra pas être dépassée (cf Posologie et Mode d’administration).
- Chezles patients âgés de plus de 60 ans, le traitement doit être initié àla dose de 0,1 – 0,2 mg par jour.
- Si celui-ci est confirmé, undiagnostic d’hypertension intracrânienne bénigne devra être considéréet, s’il y a lieu, le traitement par l’hormone de croissance devra êtreinterrompu.
- L’expérienced’un traitement au long cours par l’hormone de croissance chez l’adulteet les patients présentant un syndrome de Prader-Willi est limitée.
- La reprise du traitement avec le médicament après l’élimination de l’hypertension intracrânienne n’entraîne généralement pas de rechute.
Des irrégularités ou bosses peuvent se former sur la peau autour du site d’injection, mais ceci ne devrait pas se produire si vous faites l’injection à un endroit différent à chaque fois. Vérifiez auprès de votre médecin, pharmacien ou infirmier/ère en cas de doute. • Si vous ne grandissez pas correctement et si vous n’avez pas suffisamment d’hormone de croissance naturelle. La reprise du traitement avec le médicament après l’élimination de l’hypertension intracrânienne n’entraîne généralement pas de rechute.
Maladie de Parkinson: l’information comme premier remède
Descas d’épiphysiolyse fémorale supérieure et de maladie deLegg-Calvé-Perthes ont été rapportés chez des enfants traités parhormone de croissance. Lediagnostic doit être envisagé lorsqu’un enfant présente une gêne ou unedouleur au niveau de la hanche ou du genou. Les patients pédiatriques dont la vitesse decroissance est inférieure à 1 cm par an et dont les épiphyses sontpresque soudées ne devront pas être traités. Chez les patients https://www.catdog.com.co/medicaments-de-resistance-effet-2/ trait�s par de l�insuline, un ajustement de la dose d�insuline pourra �tre n�cessaire apr�s l�initiation du traitement par la somatropine (voir rubrique 4.4). Le d�ficit en hormone de croissance chez l�adulte est une maladie chronique qui doit �tre trait�e comme telle. Cependant, dans le d�ficit en hormone de croissance chez l�adulte, les donn�es chez les patients �g�s de plus de 60 ans et chez les patients trait�s depuis plus de cinq ans sont encore limit�es.
Interactions médicamenteuses OMNITROPE
Unfaible pourcentage de patients peut développer des anticorps contreOmnitrope. Omnitrope a provoqué la formation d’anticorps chez environ 1% des patients. La capacité de liaison de ces anticorps est faible etil n’y a pas d’effet sur le taux de croissance. La recherched’anticorps à la somatropine doit être réalisée chez tout patientprésentant un manque de réponse au traitement autrement inexpliqué. Ladéclaration des effets indésirables suspectés après autorisation dumédicament est importante. Elle permet une surveillance continue durapport bénéfice/risque du médicament.
Ilconvient d’informer les patients atteints d’une affection hépatique ourénale que de grandes quantités d’alcool benzylique peuvent s’accumulerdans leur corps et entrainer des effets secondaires (appelés « acidosemétabolique »). Engénéral, ces effets indésirables sont peu sévères à modérés, ilssurviennent dans les premiers mois du traitement et diminuentspontanément ou après une diminution de dose. Lediagnostic et le traitement par la somatropine doivent être réalisés etsuivis par un médecin spécialisé et expérimenté dans le diagnostic etla prise en charge des patients présentant des troubles de lacroissance. Pour être considéré comme efficace, le gain de croissance après la première année de traitement par hormone de croissance doit avoir été d’au moins 2 cm par rapport à l’année précédant la mise sous traitement. Les années suivantes, la vitesse de croissance doit être au moins égale à la moyenne pour l’âge chronologique et/ou pour l’âge osseux et meilleure qu’avant le traitement (et supérieure ou égale à 3 cm par an).
En cas de déficit en GH après un traitement anticancéreux, il est nécessaire de faire attention aux éventuels symptômes d’une tumeur maligne récurrente. La solution d’Omnitrope est administrée par voie sous-cutanée, lentement. Taux de fréquence d’application – une fois par jour (de préférence la nuit). Pour prévenir la lipoatrophie, il est recommandé de changer régulièrement de site d’injection.
La dose doit êtreprogressivement augmentée ou diminuée en fonction des besoins propresdu patient, déterminés par le taux d’IGF-1. Les enfants traités par la somatropine devront être suivis régulièrement par un médecin spécialisé dans la croissance. Le traitement par la somatropine devra toujours être instauré par un médecin spécialisé et expérimenté dans le diagnostic et le traitement de l’insuffisance en hormone de croissance.
L�augmentation des infections de l�oreille n�a pas conduit � une augmentation des op�rations de l�oreille/insertions de tube de drainage tympanique par rapport au groupe ayant la plus faible dose dans l�essai. La somatropine pouvant diminuer la sensibilit� � l�insuline, une intol�rance au glucose devra �tre recherch�e chez les patients trait�s (voir rubrique 4.5). Chez les patients diab�tiques, un ajustement de la dose d�insuline peut s�av�rer n�cessaire apr�s initiation d�un traitement � base de somatropine.
0, ,035 mg/kg de masse corporelle par jour ou 0,7 – 1,0 mg/m 2 de surface corporelle par jour. Lorsque le déficit en hormone de croissance persiste pendant l’adolescence, le traitement par Omnitrope doit être poursuivi jusqu’à la fin du développement physique. La mécasermine doit être administrée peu de temps avant ou après un repas ou une collation, car elle peut avoir des effets hypoglycémiants identiques à ceux de l’insuline. Les jeunes enfants, les enfants ayant des antécédents d’hypoglycémie et ceux n’ayant pas une alimentation régulière doivent faire l’objet d’une attention particulière. Les patients doivent éviter les activités à haut risque dans les 2 à 3 heures suivant l’administration, en particulier en début de traitement par la mécasermine, et jusqu’à ce qu’une dose bien tolérée ait pu être définie.